Je m’appelle Pierre. Dans mon travail, j’aide les gens à bien communiquer ensemble et je soutiens les jeunes dans leur recherches.

Pierre

Pierre

Je m’appelle Pierre, je suis Bruxellois et père de famille. Ces deux qualités me projettent vers l’avenir. Elles me font participer activement au débat sur mon lieu de vie. Dans mon travail, j’aide les gens à bien communiquer ensemble et je soutiens les jeunes dans leur recherches et questionnements. Ce qui m’a donné envie de rejoindre la campagne #LesChercheursDair, c’est la possibilité de participer de manière constructive et collective à la lutte contre la pollution de l’air à Bruxelles. Pour moi, la récolte participative de données sur la qualité de l’air est une réponse à un besoin vital tourné vers le futur. J’espère que ces données pourront être utilisées pour mettre en place des mesures contre les sources de pollution afin d’obtenir une meilleure qualité de vie commune.

Je m’appelle Pierre. Dans mon travail, j’aide les gens à bien communiquer ensemble et je soutiens les jeunes dans leur recherches.

Je m’appelle Nuria, j’habite à Bruxelles depuis 1993. Puéricultrice de profession, j’attache beaucoup d’importance à la santé des enfants.

Nuria

Nuria

Je m’appelle Nuria, je viens de Barcelone et j’habite à Bruxelles depuis 1993. Puéricultrice de profession, j’attache beaucoup d’importance à la santé des enfants. Actuellement je suis militante et élue écologiste à Woluwe-Saint-Lambert. J’ai participé à cette expérience de science collaborative parce que j’espère que les résultats nous permettront de savoir ce que nous respirons vraiment et qu’ils pousseront nos élu.e.s à trouver des solutions contre la pollution de l’air.. J’ai hâte de connaître les résultats pour ma commune et pour le reste de Bruxelles !

Je m’appelle Nuria, j’habite à Bruxelles depuis 1993. Puéricultrice de profession, j’attache beaucoup d’importance à la santé des enfants.

Je m’appelle Nathalie. J’ai grandi à Bruxelles et j’aime m’y balader au fil des saisons, à vélo, à pieds, en transport en commun.

Nathalie

Nathalie

Je m’appelle Nathalie. Je travaille dans la gestion des ressources humaines, dans le secteur culturel. J’ai grandi à Bruxelles et j’aime m’y balader au fil des saisons, à vélo, à pieds, en transport en commun, seule, en famille, avec des amis. Avec mon compagnon, nous avons consciemment fait le choix de vivre en ville, près du métro et sans voiture. Nous pensons que ce mode de vie fait partie des solutions individuelles pour une meilleure qualité de vie à Bruxelles et pour répondre aux enjeux environnementaux et de mobilité. Si nous avons décidé de rejoindre le projet des Chercheurs d’air, c’est pour avoir des données objectives sur la qualité de l’air que nous respirons et faire bouger les lignes et les mentalités dans la gestion de la ville dans laquelle nous vivons. Nous sommes convaincus du potentiel énorme de Bruxelles et des bruxellois à prendre leur destin en main face aux changements qui s’annoncent. Nous espérons qu’à notre petite échelle, nous pourrons contribuer à un changement vertueux et que nous pourrons bientôt mieux respirer !

Je m’appelle Nathalie. J’ai grandi à Bruxelles et j’aime m’y balader au fil des saisons, à vélo, à pieds, en transport en commun.

Je m’appelle Michel. Je suis responsable IT et logistique à Evere. Ma femme Viviane est fonctionnaire au CPAS de Bruxelles.

Michel

Michel & Viviane

Je m’appelle Michel. Je suis responsable IT et logistique à Evere. Ma femme Viviane est fonctionnaire au CPAS de Bruxelles. Parents de quatres enfants, nous sommes également cyclistes au quotidien depuis plusieurs années. Je suis attentif à l’environnement et à sa défense. C’est la curiosité en premier lieu qui m’a encouragé à rejoindre ce projet de science collaborative mené par Les chercheurs d’air. J’aimerais savoir ce que ma famille respire au quotidien. Si l’air est trop pollué, j’aimerais que les pouvoirs publics prennent des mesures fortes pour nous protéger de la pollution, entre autres en réduisant la circulation routière à Bruxelles.

Je m’appelle Michel. Je suis responsable IT et logistique à Evere. Ma femme Viviane est fonctionnaire au CPAS de Bruxelles.

Je m’appelle Marie. Je suis en Belgique depuis 14 ans et uccloise depuis 6 ans, avec ma fille de 10 ans, Lise, et nos 3 chats.

Marie

Marie & Lise

Je m’appelle Marie. Je suis native du sud-ouest de la France. Je suis en Belgique depuis 14 ans et uccloise depuis 6 ans, avec ma fille de 10 ans, Lise, et nos 3 chats. Photographe à mes heures, mais essentiellement « maman cool » (c’est Lise qui le dit !), j’aspire à vivre à nouveau entourée de prairies et de bois. Mais concession oblige, le compromis a été de s’installer en face du Kauwberg et pas si loin de la Forêt de Soignes, ces deux poumons de verdure qui nous sont essentiels pour flâner, marcher, courir, pédaler… Il me semble important et légitime de considérer l’état de la qualité de l’air qui borde et pénètre nos maisons et l’impact que cela peut avoir sur notre santé. Je me suis proposée pour participer au projet des Chercheurs d’air songeant bien que la situation de mon domicile serait un témoin important.

Je m’appelle Marie. Je suis en Belgique depuis 14 ans et uccloise depuis 6 ans, avec ma fille de 10 ans, Lise, et nos 3 chats.

Je m’appelle Laura. Nous vivons sur le boulevard Reyers depuis 6 ans, juste en face de l’emplacement de l’ancien viaduc.

Laura

Laura

Je m’appelle Laura. Je suis pédiatre et je suis la maman d’un petit garçon de 19 mois. Nous vivons sur le boulevard Reyers depuis 6 ans, juste en face de l’emplacement de l’ancien viaduc dont nous avons vécu la destruction. J’aime mon quartier, vivant, près du centre et près de tout rapidement. Mais j’aimerais le voir moins pollué par ce trafic incessant. Forcée de constater que les alternatives à la voiture ne sont pas encore optimales, j’ai pris part à ce projet des Chercheurs d’air car j’espère profondément que cela permettra de mettre les politiques face à leurs responsabilités et qu’ils mettront ainsi tout en œuvre pour plus de mobilité verte, meilleure pour notre santé.

Je m’appelle Laura. Nous vivons sur le boulevard Reyers depuis 6 ans, juste en face de l’emplacement de l’ancien viaduc.

Je m’appelle Kevin, je suis Belge, coureur du dimanche et cycliste au quotidien. Ce qui m’a motivé à rejoindre ce projet...

Kevin

Kevin

Je m’appelle Kevin, je suis Belge, coureur du dimanche et cycliste au quotidien. Ce qui m’a motivé à rejoindre ce projet des Chercheurs d’air, c’est la curiosité après avoir déménagé d’une rue calme à une rue plus animée, surtout au niveau de la circulation. J’espère que les niveaux de pollution ne sont pas trop élevés…

Je m’appelle Kevin, je suis Belge, coureur du dimanche et cycliste au quotidien. Ce qui m’a motivé à rejoindre ce projet...


Je m’appelle Katharina. Je suis Allemande et j’habite à Bruxelles depuis 2005 où je travaille comme Office Manager.

Katharina

Katharina

Je m’appelle Katharina. Je suis Allemande et j’habite à Bruxelles depuis 2005 où je travaille comme Office Manager. J’aime chanter, faire du vélo, me balader dans la nature et faire du sport. A mon avis si on veut vraiment que la qualité de l’air s’améliore à Bruxelles il faut commencer par identifier les endroits qui sont particulièrement problématiques. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de participer à la campagne de science collaborative des Chercheurs d’air. Sur base des résultats on pourra ensuite trouver des solutions adaptées et donc qui fonctionne vraiment.

Je m’appelle Katharina. Je suis Allemande et j’habite à Bruxelles depuis 2005 où je travaille comme Office Manager.

Je m’appelle Jérôme, cycliste au quotidien, j’adore les balades en famille ou simplement accompagner ma fille à l’école.

Jérôme

Jérôme

Je m’appelle Jérôme, je suis architecte, originaire de Dinant, et je vis à Bruxelles depuis près de 20 ans. Cycliste au quotidien, j’adore les balades en famille ou simplement accompagner ma fille à l’école. Je suis également musicien dans le groupe post-punk EMPEREUR. Nous habitons depuis 10 ans sur un des boulevards les plus fréquentés (et pollués) de Bruxelles. Nous avons participé à la campagne de mesure des particules fines lancées par les Chercheurs d’air, ce qui nous a sensibilisés à la pollution à Bruxelles. Lors du 1er confinement, la diminution drastique du trafic automobile nous a apporté un grand bien-être et une quiétude jamais connue auparavant, surtout en heures de pointe. Cette nouvelle étude très ciblée sur la pollution à Bruxelles pourrait permettre aux usagers, habitants, politiques… de prendre conscience de l’impact de chacun au quotidien et de prendre des mesures plus fortes afin d’améliorer la qualité de vie et la qualité de l’air, notamment en proposant une meilleure gestion du trafic.

Je m’appelle Jérôme, cycliste au quotidien, j’adore les balades en famille ou simplement accompagner ma fille à l’école.

Je m’appelle Jean. Je suis un simple être humain, à la croisée des chemins (un urbain qui aime être au milieu de la nature)...

Jean

Jean

Je m’appelle Jean. Je suis un simple être humain, à la croisée des chemins (un urbain qui aime être au milieu de la nature), des époques (qui contemple hier et se préoccupe de demain), et du développement (fasciné par la technologie, captivé par le juste nécessaire). Participer à la campagne #LesChercheursDair, c’était d’abord une évidence. Celle de vouloir soutenir une initiative, et d’aider ceux qui prennent leur responsabilité et qui agissent vraiment. Et puis… un intérêt profond. L’air que l’on respire. On connaît les dangers de la pollution. Des chiffres circulent sur son impact ; les morts, bien sûr, les risques pour les enfants, aussi. Tout ça peut rester un peu abstrait. L’idée est de toucher cela du doigt. Au sens propre : changer les tubes chaque mois pour mesurer la qualité de l’air. Au sens figuré : connaître les chiffres. Et donc regarder demain : comment, nous, citoyens, pouvons prendre nos responsabilités, et influencer les décisions ?

Je m’appelle Jean. Je suis un simple être humain, à la croisée des chemins (un urbain qui aime être au milieu de la nature)...